I can most definitely understand why people like this book. The dialogues are fire, and the characters are just as flamboyant. The whole “self-destruction” and “quest for identify that lasts a lifetime” is just not my cup of tea.
La trope de manque de communication est utilisée à 150% dans cette romance tiède aux airs de secondes chances et d'amour d'enfance. Suivez Os, alors qu'elle fait chier tout le monde avec son caractère de cochon et manipule son ami en amour par dessus la tête avec elle, en toute connaissance de cause. Ça AURAIT pu être excellent, mais malheureusement, on a abusé du 'c'était mon meilleur ami, mon âme soeur et il m'a trahi'. Même si la 'trahison' en est vraiment une, et que ça m'a fait mal au coeur à lire (bien joué là-dessus!), j'étais tellement à boute de la redondance du discours que j'ai presque skippé les explications à force de lire en diagonale.
Os est vraiment une personne qui communique mal, saute aux conclusions, et en plus manipule les gens selon son humeur de la journée. Quand elle ne les utilise pas, elle les boude, comme un gros bébé. C'était difficile de lui être sympathique. Elle n'est pas moins une victime pour autant, que ce soit clair, mais cela n'excuse pas les blessures qu'elle a infligé aux autres... pendant 5 ans. Bref, je suis loin d'avoir trouvé ça romantique.
ALSO, j'adore la diversité corporelle en romance. MAIS, y'avait un peu de shaming des autres personnages aussi. 'Le paquet d'os, non merci', genre allo? C'est pas plus nice à dire. Est-ce qu'on peut faire de la place pour tout le monde sans gêner les autres ? Olivier aurait juste pu dire 'c'est toi que je trouve belle, pas ta soeur'. Point. Pas besoin de comparer deux silhouettes.
POINTS POSITIFS: - Le banter était bon, quand les personnes s'y donnaient. - Y'a un french qui est chaud. - C'était cute de les voir tomber en amour, ados. - Les desserts pour le mariage avaient l'air délicieux, et ça m'a donné faim. - Rivière-du-loup, ça l'air beau. Good job sur les descriptions. - Le personnage porte plainte à la fin! Ça, ça m'a fait du bien au coeur.
POINTS MOYENS: - La famille qui se mêle de ce qui les regarde pas, c'est quelque chose dont on abuse beaucoup en romance. Une chance que le père était là, c'était rafraîchissant.
C’est comme si ton père te racontait pour la 48e fois son enfance entre le dépanneur et le Woolco avec ses amis de l’époque (que tu appelles aujourd’hui ‘mononcle’ même si t’as aucun lien de parenté). Mais y’a un des jeunes qui a disparu. Et toutes les figures d’autorité sont fucking louches.
Description alternative: Une gang de gars de 12 ans qui fantasment sur les cigarettes pis les seins des filles de leur classe se promènent à « bécyk » pour retrouver leur ami disparu. 40 ans plus tard, le corps est retrouvé et on est aux funérailles.
J’ai lu avec attention jusqu’à la page 110 et après ça je me suis clanchée le reste en diagonale. C’est long longtemps.
Finally a romance book that doesn’t end in marriage or maternity. It ends in mortgage, and in the current economy, that’s now the real dream.
This book had me laughing and kicking my feet like a teenager. It also made me hungry. Yes, for food. Those asparagus sounded delish. Don’t get me started on the milkshakes - WHY AREN’T THERE MORE MILES OUT THERE? There. I said it.
3 étoiles pour la prose à MCC qui équivaut plus ou moins à une claque « sua yeule » par ta prof pref du primaire (genre durement, mais avec amour), 1 étoile pour la fin que je n’ai jamais vu venir en 100 ans.
Read it in the bath and had a good enough time. The spice was mid af. Would I reread it? No. Did I have fun? Yeah! It’s like having cold pizza. It’s not optimal, but it’s pizza.